Sunday, June 9, 2019
Télécharger le fichier PDF Bouddhas et rôdeurs sur la route de la soie (nvelle éd.), by Peter Hopkirk
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Bouddhas et rôdeurs sur la route de la soie (nvelle éd.), by Peter Hopkirk
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Détails sur le produit
Poche: 352 pages
Editeur : EDITIONS PHILIPPE PICQUIER (5 janvier 2017)
Collection : Picquier poche
Langue : Français
ISBN-10: 2809712255
ISBN-13: 978-2809712254
Dimensions du produit:
17 x 2,3 x 11 cm
Moyenne des commentaires client :
4.6 étoiles sur 5
5 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
161.329 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Ne vous fiez pas au titre imposé par l’éditeur français à ce livre, comme l’écrit très explicitement Peter Hopkirk, l’auteur anglais de « Foreign Devils on the Silk Road » dans un avertissement : ce livre n’est pas non plus un « roman » - même si en quatrième de page, on parle de « roman vrai » - , mais plutôt (du moins en seconde partie) le récit (qui se veut rigoureusement historique) de l’attitude désinvolte et souvent scandaleuse des « diables d’étrangers / foreign devils », aventuriers plus ou moins explorateurs, anthropologues, archéologues, linguistes et/ou historiens/marchands d’art (mais aussi parfois de vrais intellectuels qui maîtrisaient des langues rares**), et qui, toujours au péril de leur vie ou du moins de leur intégrité physique, et souvent sous le couvert de ‘missions’ confiées soit par des musées, soit par des institutions ou encore des pays (la Suède, l’Allemagne, l’Angleterre, la France, le Japon, les Etats-Unis) ont été pendant le premier quart du XXème siècle piller les œuvres d’art sérindien et gréco-bouddhique* dans des grottes, des monastères, des bibliothèques des cités perdues des oasis du désert de Taklamakan, sur ce qui fut à une autre époque les routes « pleines d’aléas » des caravanes qui transportèrent de l’Orient vers l’Occident (et réciproquement), certes de la soie de Chine (de là évidemment le nom de la route), mais aussi tant des produits de luxe que d’usage courant comme des cosmétiques, des médicaments, des aromates, du vin, des épices, des pierres précieuses, du bois rare, des livres, des tapis etc.On suit ainsi à la trace des pionniers « archéologues/historiens de l’art/rodeurs/pilleurs/voleurs » [cela dépend des points de vue et de la période où on écrit], parmi lesquels on citera le Suédois Sven Hedin (1869-1952), puis Aurel Stein (1862-1943), Hongrois d’origine, (qui maîtrise à moins de 20 ans le latin, le grec mais aussi le sanscrit, titulaire d’un doctorat à 21 ans), naturalisé anglais, docteur honoris causa d’Oxford et de Cambridge, anobli par le gouvernement britannique), qui fera quatre expéditions en Asie centrale à la recherche entre autres, de manuscrits écrits dans des langues des premiers siècles de notre ère, et qui prouvaient qu’une civilisation à l’origine bouddhique s’était diffusée jusque dans les oasis sur la route de la soie à travers le désert de Taklamakan.On accompagne ensuite l’entrée en scène des Japonais et des Allemands, qui à leur tour vont spolier les traces des civilisations anciennes pour approvisionner les musées et accroître leur renommée ; on suit en particulier et à la trace l’Allemand Albert van Lecoq et son assistant Théodore Bartus qui arrachèrent et scièrent des centaines de kilos de statues, fresques et œuvres d’art pour les envoyer à Berlin (où elles seront pour la plupart détruites dans les bombardements des alliés à la fin de la seconde guerre). Un drame pour l’auteur, parce qu’en affirmant « protéger l’art gréco-bouddhique » des multiples menaces locales (religieuses, politiques et … paysannes) et en le transportant en Occident, on va malgré tout provoquer sa disparition ou son désintérêt (quelle est la place actuelle de ces œuvres d’art dans les musées d’Occident ?)Mais ce livre est aussi beaucoup plus que la vie et la carrière de ces aventuriers : on profite de l’énorme érudition de l’auteur, on se prend à relire des passages, à essayer de compléter une donnée et on découvre ainsi en arrière-plan ce que fut l’âge d’or de la Chine sous la dynastie des T’ang (618-907), l’arrivée du bouddhisme en Chine, l’essor du manichéïsme et du christianisme nestorien dont les adeptes furent bannis d’Occident après le concile d’Ephèse en 432 jusqu’au bannissement de toutes les religions étrangères qui eut lieu en chine en 845.Ainsi, on apprend que, lorsque la dynastie des T’ang commença à décliner, le destin de la route de la soie suivit le mouvement, ce qui entraîna la disparition de toutes ces cités si prospères et en même temps celle de leurs monastères, temples et des œuvres d’art qui ornaient ces bâtiments et inspiraient le culte. Le déclin s’échelonna sur plusieurs siècles (suite à l’assèchement des fleuves en provenance des glaciers, écrit P. Hopkirk, ainsi que l’arrivée brutale du prosélytisme guerrier de l’Islam qui mit à mal l’art figuratif accusé dans cette religion d’anathème). Et voilà comment toute une civilisation a pu disparaître dans les sables du désert de Taklamakan jusqu’aux expéditions à la fin du XIXème siècle qui les feront revivre pour quelques décennies éphémères malheureusement : « De terribles dommages, irréparables, ont été commis sur ces temples et sur ces sites au cours de la ruée qui suivit cette découverte, dans le but de s’approprier des exemples de cet art pour fournir les musées et collection » (p.43).Un (amer) regret cependant : ce livre ne contient que deux cartes; la première (p. 27) présente les pistes principales de l’ancienne route de la soie - et est quasiment illisible - et l’autre s’étend certes, sur une double page (pp. 28-29), mais est tellement minuscule en réalité que cela en devient inutilisable. Cela n’est pas imputable à l’auteur mais à l’éditeur. Evidemment, le lecteur trouvera sur le net ce qu’il cherche mais cela reste dommage que l’éditeur (qui offrait en janvier 2018 une nouvelle version de ce livre paru à l’origine en anglais en 1980) n’ait pas prévu d’ accompagner chaque voyage des « explorateurs » par un tracé plus net de leur périple, parce qu’alors ce livre eut été parfaitement réussi.* ‘La pénétration du bouddhisme en Chine ne donna pas seulement aux Chinois une nouvelle religion, mais leur révéla un style tout à fait nouveau appelé à l’origine style serindien, mot formé de Sères qui désigne la Chine et Inde » (écrit P. Hopkirk, en p. 42). L’imposant massif de l’Hymalaya coupait totalement la Chine de l’Inde et excluait tout contact direct entre ces deux pays, continue-t-il. Mais le message et l’art bouddhiques pénétrèrent en Chine via le royaume bouddhique du Gandhara (au nord-ouest du Pakistan actuel). Dans ce royaume avait déjà eu lieu une sorte de fusion entre l’art bouddhique indien importé par les souverains du Gandhara et l’art grec qu’Alexandre le Grand avait introduit dans cette région quatre siècles plus tôt (ibid.); l’invention la plus révolutionnaire de cette école greco-bouddhique (dite « école de Gandhara) consista pour la première fois à représenter le Bouddha sous forme humaine : pour la première fois dans l’Histoire, des « artistes du Gandhara ont sculpté des Bouddhas dotés d’un nez et de sourcils droits, finement ciselés, de lèvres classiques, et de cheveux bouclés qui témoignent d’influences hellénistiques » (p.43), de même ‘la robe transparente de Bouddha s’apparente à une toge méditerranéenne, alors que d’autres caractères appartiennent à l’iconographie indienne : les paupières globuleuses, les lobes des oreilles allongés (mais dépouillés des pierres précieuses) et l’ovale de son visage charnu’. (p. 43)** que dire (à titre de ‘simple’ exemple) de la langue utilisée sur des tablettes que sortira Sir Aurel du désert : un ancien prâkzit indien, écrit en kharoshthi .
Ce livre, comme tous ceux écrits pat Peter Hopkirk, est extrêmement bien écrit et se lit comme un polar excepté qu'il ne s'agit pas d'une fiction mais de faits dont la réalité est bien établie ainsi que l'atteste l'importante bibliographie qui accompagne le texte. On ne peut qu'être atterré par l'ampleur du pillage des sites archéologiques du Turkestan chinois par les prétendus archéologues occidentaux qui n'avaient pratiquement aucune connaissance des civilisations dont ils détruisaient les vestiges ... avec cependant la notable exception de l'Allemand Grünwedel et du Français Pelliot (dans une certaine mesure pour ce dernier). Leur principal argument, la protection des vestiges de la destruction par des paysans islamistes iconoclastes, me semble faible si l'on pense que ces sites archéologiques cohabitaient depuis des siècles avec l'islam ... L'appât du gain a entraîné d'innombrables destructions sur les sites même qui ont été littéralement pillés puis abandonnés, laissant aux populations locales un désastreux exemple qui a accéléré encore plus la destruction des sites... Lamentable.Je signale à ceux qui seraient intéressés par ce livre que l'édition Arthaud, malheureusement épuisée mais trouvable en bouquinerie ou sur internet, est la seule valable. Elle comporte la bibliographie et l'index de l'original en anglais. Deux parties qui ont été supprimées des éditions récentes tout cela pour économiser des bouts de chandelles ... les éditeurs français ne sont vraiment pas sérieux! Quelle honte.
Si vous avez visité quelques unes des oasis ou étapes sur la route de la soie vous avez sans doutes des questions sur toutes ces histoires que vous avez entendu par bribes, sur l'histoire des lieux et plus récemment celle des des archéologues explorateurs occidentaux."Bouddhas et rôdeurs sur la route de la soie" fait une originale et intéressante synthèse - probablement la seule jusqu'à aujourd'hui et facile à lire qui plus est - qui peut vous donner envie d'en savoir plus sur ces aventuriers de tous les pays qui ont littéralement déterré mais aussi emporté les vestiges disparus sous les sables. Des hommes qui étaient aussi des vraies personnages - pour arriver ainsi à braver les conditions climatiques extrêmes parfois avec peu de moyens.En plus de donner des éléments d'histoire sur les civilisations route de la soie, il peut se lire aussi comme un récit ou des récits d'aventures du béut du 20ème siècle.
Au début je n'étais pas enthousiaste en regardant la couverture de cet ouvrage que l'on m'avait offert... 'Des archéologues, des histoires anciennes, des chronologies, encore un ouvrage d'histoire savante, aussi ennuyeuse que poussiéreuse avais je pensé... D'autant plus qu'il en existe déjà un sur le sujet'... Et en plus c'est une traduction ! bref, la tuile.Eh bien pas du tout, ce livre est tout le contraire ! C'est une pure merveille qui se dévore littéralement. 'Il est brillamment écrit, amusant et doublé de suspense sur des histoires aussi croustillantes qu'ahurissantes. "Bouddhas et rôdeurs" qui s'appelle au départ « Foreign Devils on the silk Road » est l'histoire du pillage patrimonial quasi systématique auxquels se sont livrés les musées des nations occidentales durant ces deux derniers siècles dans les pays asiatiques traversés par la route de la soie. Il se lit comme un roman d'aventure sans complaisance aucune, bref je suis fan et je tire mon chapeau à la traductrice.
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